Séance engagement au Havre
Pour vos séances engagement, j’aime vous emmener au bout du monde … Voilà qui a de quoi faire rêver ! Je suis toujours prête à boucler ma valise pour vous rejoindre. Mais ce bout du monde là est à deux pas de chez moi. On appelle ainsi l’endroit ou la mer arrive au pied des falaises d’une belle couleur ocre, faisant chanter les galets. Loin de l’agitation festive de la promenade de la plage les soirs d’été. A Sainte-Adresse, l’estacade a longtemps inspiré Raoul Duffy, Havrais d’origine. Séance engagement au Havre
Maxime & Anne
J’ai donc retrouvé Maxime et Anne au pied des falaises. La lumière était parfaite, les galets roulaient sous les vagues. Les promeneurs étaient de belle humeur, et, surtout, mes love birds étaient très amoureux … Tous les ingrédients étaient donc réunis pour une jolie séance romantique !
La séance engagement, réalisée avant le jour J, est vraiment un chouette moment que j’aime partager avec mes futurs mariés. Apprendre à mieux nous connaître, vous mettre à l’aise devant l’objectif… Prendre le temps de papoter, de se promener, de découvrir de jolis endroits, de rire ensemble… Et, surtout, vous offrir au final de jolis clichés qui trouveront leur place chez vous, dans vos petits carnets ou encore sur vos faire-part ou save-the-date …
Raoul Dufy.
À partir de 1893, il suit les cours du soir de Charles Lhullier à l’École municipale des beaux-arts du Havre. Il rencontre donc Raimond Lecourt, René de Saint-Delis et Othon Friesz avec lequel il partage ensuite un atelier à Montmartre et qui restera un de ses plus fidèles amis. Il peint des paysages normands à l’aquarelle. En 1900, grâce à une bourse, il entre à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, à l’atelier Léon Bonnat où il retrouve Othon Friesz.
Raoul Dufy subit d’abord l’influence d’Eugène Boudin et de l’impressionnisme, mais il n’en retient pas la touche en virgule : la sienne devient par contre de plus en plus large et vigoureuse, comme on peut le voir dans La Plage de Sainte-Adresse (1904) et Après le déjeuner (1905-1906). Il faut souligner une maîtrise précoce de l’aquarelle, et déjà des indices de son style propre futur dans une œuvre comme le au Havre où les teintes sont complétées à l’encre de Chine.
Photographe mariage Normandie.